ARCHIVES SURVEILLANCE OLFACTIVE
Mesures de bruit les 13 et 14 mars 2024  
 
Dans la foulée des relevés olfactifs concernant le site agro-alimentaire de Bazancourt-Pomacle (société Odométric), nous avons été contactés récemment par la société ARD, via son représentant pour ce sujet, Monsieur Cyril QUEDREUX, afin d'effectuer des mesures de bruits sur le secteur. Ont ainsi été posés trois capteurs : l'un sur Boult sur Suippe, un autre sur Pomacle, et un dernier en référence sur le site même d'ARD. 
Le but de ce travail est d'analyser les diverses sources sonores, et de les confronter aux ressentis des habitants, ainsi qu'aux émissions par les différentes structures de la plaque, avec pour but final, une prise en charge effective de ce type de nuisances. 














 

 

















Ces relevés ont été effectués du mercredi 13/03, 12 heures, au jeudi 14/03, 12 heures, par la société ECIB. Période un peu brève, à notre avis, mais qui a le mérite d'exister. 
Si j'ai pu personnellement douter un moment de la neutralité de la démarche, aucun bruit n'étant émis sur le week-end précédent, je fus rassuré quand, jeudi matin, enfin, nous avons retrouvé un niveau sonore plus habituel... ce qui devrait permettre une analyse satisfaisante... Enfin, nous l'espérons. 
 
Gageons que les efforts respectifs, tant au niveau des riverains que des industriels, porteront leurs fruits, et nous permettront de vivre dans un environnement moins perturbé. 
Nous ne manquerons pas, au terme des résultats, de vous informer de l'évolution de ces études, afin de vous permettre de délicieux instants apéritifs à la belle saison" 
 
Philippe Neff 
15/03/2024






UN OBSERVATOIRE DES ODEURS

















Ce lundi soir, 29 janvier 2024, une réunion de présentation de la société ODOMETRIC était organisée en la salle Michel Prévoteau de Bazancourt. 
Cette réunion s'inscrit dans la prise en charge de la surveillance olfactive de la zone agro-industrielle de Pomacle-Bazancourt-Boult sur Suippe, dont les industriels présents sur le site souhaitaient un transfert de cet engagement de l'une des usines du site vers une société privée, a priori, plus autonome dans son fonctionnement.  
Elle réunissait les observateurs olfactifs, historiques ou non, des alentours du site et tous les industriels de la plaque, impliqués de près ou de loin dans la genèse de ces odeurs.  
Après une présentation de la structure Odometric, puis de chaque industrie du pôle par son directeur respectif, la présentation plus concrète de l'application s'est faite en présence d'une quinzaine de personnes. 
Le manager, Cedric Vériter, nous a présenté l'application : SYNERGY, outil de travail entre les "nez", les industriels et la structure Odometric. 
Son fonctionnement est simple d'utilisation : repérage en temps réel des odeurs, transcription aisée de leur impact et envoi des constatations. Il existe quelques améliorations dans le signalement... 
En cas de signalement, une première analyse pour recherche du responsable est effectuée, puis un message est envoyé à tous les industriels du site qui analysent l'information et tentent d'y remédier avec le soutien d'Odometric... 
La mise en place de cette structure de surveillance nous semble pertinente et adaptée à nos besoins : nous testerons son efficacité au fur et à mesure, et à cet effet, nous avons besoin de renforcer notre équipe : c'est peu chronophage, cela ne nécessite pas de qualité particulière, et cela répond à un besoin reconnu par la population dans son ensemble. 
Une extension de l'application sur la surveillance et le contrôle des bruits émis par le pôle est en cours d'étude : sachez que nous mettons tout en œuvre pour avancer sur ce point." 
Nous continuerons de vous informer régulièrement de nos avancées pour le maintien de notre qualité de vie. 
Rejoignez-nous, l’environnement c’est l’affaire de tous ! 

 
UNE IDEE QUI MIT DU TEMPS A GERMER 





















 
 
En date du 27 janvier 2023, le responsable des bassins de Cristal Union m’a invité à voir les plantations d’arbres faites autour des bassins pour couper la propagation des odeurs. 
 
Cela consiste en des digues surélevées avec remplissage de terre végétale et plantations d’arbres. Une fois que ces derniers auront poussé, cela fera des buttes arborées. 
Certes les arbres n’absorbent pas les odeurs mais ils formeront une barrière végétale qui freinera la propagation des odeurs. Nous savons tous qu’il existe des couloirs où le vent s’engouffre, c’est un moyen d’agir. Nous ne pouvons que nous réjouir de cette réalisation. 
 
Cette idée-là, cela fait vingt ans que les observateurs olfactifs en parlent. Quand je l’évoquais en réunion devant des Politiques et des Industriels, j’avais l’impression d’être pris pour un « rigolo », et parfois cela pouvait décourager. 
Finalement, l’idée a mis du temps à germer mais elle a germé, ce qui ne peut que nous inciter à ne pas nous décourager dans nos actions pour l’environnement. 
 
Les arbres sont nos meilleurs alliés ! 
J-C Georget 
06/02/2023  
 

 
 
 

 






















Pourquoi suis-je "Nez" ? 

 
 
Je vais tenter d'apporter une réponse constructive, à cette question existentielle, de toute première importance. 
Habitant Boult sur Suippe depuis bientôt 40 ans, je suis, tout comme vous, exposé à de multiples et récurrentes odeurs émanant du pôle agro-industriel et de ses effluents. 
Longtemps, j'ai pesté, râlé, au retour de congés, en arrivant sur zone, et en me disant : " tiens, maison !!!!". Cela ne me faisait pas sourire... 
Et puis, récemment, après réflexion et contacts alentours productifs, je me suis remis en question, en me disant que mon attitude n'était pas la bonne. 
Et je me suis dis: " pourquoi ne deviendrais-je pas : nez ? ". (Le nez, par chez nous est ce que l'on appelle un observateur olfactif ; il est chargé d'observer et de signaler sa perception des odeurs qui l'entourent et qui peuvent lui apporter une certaine gêne). 
Et j'ai donc franchi le pas... 
Je viens donc de recevoir ma formation, en présentiel dites-donc, et je me félicite vivement de ma démarche. 
Tout d'abord, j'ai rencontré des personnels de ces entreprises extrêmement investis dans leurs démarches contre les nuisances, et puis, j'ai découvert un monde, que je n'imaginais pas. 
Après avoir humé un certain nombre de "fragrances", après avoir exprimé mon ressenti sur telle ou telle odeur, j'ai pu comprendre, admettre et enfin accepter une certaine partie de notre environnement. Non comme quelque chose de négatif, mais comme quelque chose d'améliorable grâce aux efforts communs des divers protagonistes. 
Je vais donc continuer à humer l'air qui nous environne, et si vous me rencontrez, dans le village, l'air absent et concentré, ne vous inquiétez pas : " je respire avec mon nouveau nez !". 
Au plaisir de rencontrer de futurs volontaires dans cette démarche, beaucoup plus gratifiante que mon attitude antérieure. " 
Philippe Neff 
25/11/2022 
 
 
 
 
 
REUNION ANNUELLE BILAN OLFACTIF DU MARDI 28 JUIN 2022 
RENCONTRE AVEC DEUX OBSERVATEURS OLFACTIFS 
 
N’ayant pu me rendre à la réunion annuelle « bilan olfactif » organisée à Bazancourt le 28 juin 2022, je me suis entretenu avec deux observateurs olfactifs qui y ont participé. 
Rappelons d’abord que sont invités à cette réunion : les industriels du site agro-industriel de Pomacle-Bazancourt, les maires des communes impactées, les observateurs olfactifs des villages et la DREAL. 
 
Il ressort de cette réunion les points suivants : 
La méthode d’observation : Plusieurs intervenants ont souhaité une évolution de la méthode d’observation dont la mise en place date de plus de 20 ans. Il est vrai que les usines présentes sur le site ont augmenté et le panel d’odeurs également, si bien qu’il devient de plus en plus difficile pour les observateurs olfactifs d’identifier précisément une odeur. Parfois c’est une combinaison de différentes odeurs. 
Année 2021 : Le niveau de gêne « très gênant » a augmenté significativement, notamment en rapport avec des odeurs d’amines provenant d’ADM suite à défaillance d’un évaporateur. Cette pièce défectueuse sera remplacée en octobre 2022. La Sucrerie est venue en aide à ADM pour contrôler ces odeurs. 
Observateurs olfactifs : Il faudrait au minimum 4 personnes dans les villages les plus exposés, ce qui n’est pas le cas. 
A noter l’arrivée prochaine de nouveaux observateurs olfactifs : M. Neff (Boult-sur-Suippe), Mme Schvartz (Fresne-les-Reims) et le retour de M. Félix (Isles-sur-Suippe). 
A ce jour, il n’y a plus d’observateurs olfactifs à Bazancourt, ce qui est problématique. 
Applicatif ODO : La DREAL a précisé que c’était un outil très utile pour signaler les odeurs. Dès qu’il y a 6 signalements pour une même odeur sur un même jour, cela remonte à la DREAL et à l’ARS. 
Nous ne pouvons qu’inciter chacun à installer cet applicatif sur son smartphone. 
Pour cela, il suffit de télécharger cet applicatif à partir de l'adresse suivante : 
www.atmo-odo.fr/publicgrandreims 
Cela permet au Grand Reims et à Atmo Grand Est (association agréée par le ministère en charge de l'environnement pour la surveillance réglementaire de la qualité de l'air dans la région Grand Est) : 
• De suivre les nuisances perçues par les riverains 
• D’identifier une zone pouvant contenir la ou les source(s) potentielle(s) d'une odeur 
• D’améliorer le dialogue et la communication entre les différents acteurs 
• D’évaluer la mise en place de solutions techniques de la part des émetteurs 
Plantations d’arbres : Une digue a été faite pour plantations d’arbres en octobre 2022. Enfin une idée vieille de 20 ans qui va se concrétiser pour couper les couloirs d’odeurs. 
Comité de Suivi des sites industriels : Un C S S (comité de suivi des sites industriels) va être mis en place. Les maires y seront conviés. 
J-C Georget 
12/07/2022 

UNE PREMIÈRE REPONSE QUI N’EN ETAIT PAS UNE  
Depuis fin juillet, de fortes mauvaises odeurs sont perceptibles, notamment à Bazancourt. 
A ce titre, les observateurs olfactifs ont effectué des alertes et se sont rendus sur la plaque Pomacle-Bazancourt, en compagnie d’industriels et de Mme Desvéronnières, vice-présidente du Grand Reims chargée de l’environnement, de la transition énergétique et de la bioéconomie. 
Nous avons reçu une 1ère réponse qui n’en etait pas une et que nous vous livrons ci-dessous : 
« Suite aux nombreuses alertes de la fin du mois de juillet et du début du mois d’août, notamment celles des membres du jury de nez, les industriels ont mené des investigations de terrain dans et à proximités des usines, parfois en présence de membres du jury de nez ainsi que de Mme DESVERONNIERES. 
La DREAL s’est elle-même déplacée sur site pour questionner les industriels.  
Plusieurs odeurs, plus ou moins gênantes et dont une partie a été ressentie cet été, ont été relevées selon les points d’observation et les conditions météos. 
Des actions ont été définies afin d’en réduire l’impact. 
Le bilan annuel de 2021 permettra de vérifier la maîtrise ou non de cet épisode.  
Pour rappel, à toute transformation de matières agricoles est associée une empreinte olfactive caractéristique. 
Cette présence d’odeur n’est pas jugée anormale à proximité immédiate de ces usines. 
C’est lorsque ces odeurs incommodent des riverains sur leur lieu de vie que des actions correctives sont étudiées et engagées. 
En espérant avoir répondu à vos attentes. » 
Bien sûr, nous avons immédiatement fait savoir que cette réponse ne nous convenait pas. 
Il s' y trouvait un simple rappel des faits sans de réelles explications et sans indiquer les actions définies pour en réduire l’impact ? 
Et le plus important,nous ne savions pass'il y avait eu authentification de la source de ces odeurs ? Pourquoi une telle absence de transparence? 
Nous connaissions la langue de bois politicienne, nous avons maintenant aussi la langue de bois industrielle. 
Qu’à cela ne tienne, nous étions déterminés à nous faire entendre pour refuser l’inacceptable. 
Suite à nos réclamations et à la venue de la DREAL le jeudi 16 septembre, une réunion a eu lieu à Bazancourt le 20 septembre avec les industriels, des observateurs olfactifs et Mme Desvéronnières. 
L’industriel à l'origine des nuisances l'a reconnu (pièce défectueuse) et nous a expliqué les mesures de correction qui seraient déployées d’ici quelques semaines. 
Il nous reste à espérer que ces actions soient suffisantes pour un retour à la normale. 
21/09/2021 
 
 
 
Des alertes lancées fin juillet 2021! 
 
Les observateurs olfactifs de Boult-sur-Suippe et de Bazancourt ont envoyé des alertes aux industriels de Pomacle-Bazancourt pour les très mauvaises odeurs ressenties la dernière semaine de juillet. Deux d’entre eux, sur invitation de M. Belloy (chargé par ARD du suivi des odeurs), se sont rendus sur le site les 26 et 27 juillet 2021 pour identifier la source de ces nuisances. 
Non, il ne s’agissait pas de l’épandage (celui-ci n’aura lieu qu’en août) mais bien d’odeurs émanant de la plaque industrielle. 
Ces plaintes ont été relayées par M. Riffé, maire d’Isles-sur-Suippe puis par Mme Desvéronnières, Vice-Présidente du Grand Reims chargée de l’environnement et de la transition énergétique. 
 
Cela eut comme conséquence le déplacement de la DREAL (Direction Régionale de l’Environnement, de l’Aménagement et du Logement) qui put faire le même constat et prendre contact avec les responsables industriels concernés. 
Il nous a été certifié que ces derniers menaient une enquête pour déterminer l’origine des odeurs. 
 
Nous attendons maintenant que les actions correctives soient menées afin d’éviter que nos villages deviennent irrespirables. Il en va de notre qualité de vie ! 
Nous en profitons pour rappeler que nous cherchons d’autres observateurs olfactifs pour renforcer notre équipe, qui comme vous pouvez le constater, est très réactive en cas de pic d’odeurs. 
Si nous sommes plus nombreux, nous serons plus forts. 
 
LES OBSERVATEURS OLFACTIFS EN FORMATION 
 
Deux fois dans l’année, les observateurs olfactifs suivent une formation organisée par ARD. 
Du fait de la pandémie, cela n’a pas pu se faire en 2020. 
Ce fut donc une « rentrée » qui s’effectua le jeudi 8 juillet 2021 dans les locaux d’ARD. 
Dans le respect des règles de distanciation sociale, les observateurs olfactifs (appelés plus communément « les nez ») avaient un horaire de passage, afin de ne pas être tous en formation en même temps. 
Chacun avait face à soi différents effluves dont il s’agissait de déterminer le niveau de gêne et d’en identifier l’odeur. 
Ensuite, la correction avait lieu avec explications fournies par Mrs Merlet et Belloy (ARD). Chacun pouvait de nouveau « respirer » l’échantillonnage afin de mieux ancrer dans sa mémoire l’odeur. 
 
Tout cela se passa dans un esprit très convivial et constructif. 
Un seul regret demeure, celui de ne pas être assez nombreux pour tenir ce rôle de « nez ». 
Alors, n’hésitez pas à nous rejoindre ! Vous contribuerez ainsi à lutter contre les nuisances olfactives. 
Ensemble, nous sommes plus forts. 
 
UNE OBSERVATRICE OLFACTIVE EN ACTION 
Une alerte a été envoyée dimanche 4 juillet 2021 du fait d’odeurs persistantes à Bazancourt. 
Ci-dessous, vous trouverez le message que Mme Danton, observatrice olfactive à Bazancourt a envoyé à Messieurs Merlet et Belloy (Personnes d’ARD chargées du suivi des odeurs du site industriel), en mettant en copie l’ARS, la DREAL, ATMO, Mme Romagny (maire de Bazancourt) et Mme Desvéronnières (Vice-Présidente du Grand Reims chargée de l’environnement et de la transition énergétique) 
« Bonjour à tous, 
Hier après-midi et en soirée, nous avons ressenti de très mauvaises odeurs qui sont arrivées par bouffées. L'odeur s'apparentait à une odeur d’excréments, de poisson frit. Cet après-midi et ce soir, ces odeurs sont encore présentes et sont de forte intensité. Fenêtres fermées, elles finissent par pénétrer dans la maison. C'est écœurant !! 
Il n'est pas acceptable de vivre avec ces odeurs qui altèrent la qualité de la vie. 
Lorsque ces odeurs arrivent, on ne peut pas rester dehors, au risque d'avoir la nausée. 
Il est indispensable d'en trouver la cause pour que ces odeurs soient le moins fréquentes possible. 
Même si je suis favorable au développement du pôle agro industriel de Pomacle, j'aimerais bien ne pas en subir ces puanteurs, au quotidien. 
Là où je réside, rares sont les jours sans odeur. 
Il faudrait toujours avoir le crayon en main pour les reporter sur le relevé. 
Il faudrait toujours faire des alertes. 
Nous faisons très régulièrement des relevés ODO qui restent sans réponse. 
Je ne suis pas certaine que ces nuisances n'aient pas un retentissement sur la santé, ce qui serait un problème sanitaire. 
Merci aux industriels de respecter leurs engagements quant à leur cahier des charges. 
Merci à M. Merlet, M. Belloy, M. Ledain, de mettre tout en œuvre pour trouver la source de ces nuisances. Les épandages n'en sont pas la seule cause. Pourquoi lorsque je passe devant le pôle, je ressens toujours des très mauvaises odeurs. 
Il n'est pas normal, voire inadmissible, d’avoir déjà entendu dire qu'on ne sait pas d'où viennent ces odeurs (réponse de M. Merlet et M. Belloy, à une de mes alertes précédentes). 
De qui se moque-t-on ? Pour qui, nous prend-t-on ? Observateur olfactif, à quoi sert -on ? 
Il serait bon de jouer la transparence. 
Je vous remercie de bien vouloir me rendre compte, dès que possible. 
Cordialement. 
Jacqueline DANTON 
Observateur olfactif de BAZANCOURT 
Jeudi 10 juin 2021, 
Réunion « bilan de restitution des odeurs de l’année 2020 » avec une présentation détaillée assurée par A.R.D (Mr Merlet). 
Il en ressort les points suivants : 
- Le bilan est moins positif qu’en 2019 avec davantage d’odeurs gênantes et très gênantes réparties majoritairement pendant la période estivale. 
- Il est déploré que certains agriculteurs ne procèdent pas à un enfouissement rapide des matières à épandre, ce qui génère des odeurs. 
- Pourcentage de jours sans aucune odeur sur aucun village : environ 40%. 
- Les observateurs olfactifs trouvent problématique le fait que certaines odeurs signalées ne trouvent pas leur source malgré leurs alertes. 
- En 2020, du fait de la pandémie, il n’a pas pu y avoir de suivi de formation des observateurs olfactifs. 
- Il manque des observateurs olfactifs dans tous les villages. A ce titre, il sera envoyé un communiqué aux maires pour insertion dans leur revue communale. 
Nous regrettons l’absence du maire de Boult-sur-Suippe (ou de son représentant) lors de cette réunion.